Depuis Twilight, c'est la mode des romans sur les vampires. Chacun ayant sa propre vision. On est loin de celle de Bram Stokers.
Dans ce roman, les "sang-bleu" ne craignent rien. Ils sont parmi nous insérés dans la société depuis leur chute. Car, il faut savoir, ici, que ce sont des anges déchus.
Deux groupes se divisent, les sangs-bleus et les sang-d'argents. L'un veut le pardon et l'autre a tout renié. Ce morceau de trame est bien la seule chose intéressante dans ce livre inodore et sans saveur.
Théodora est l'héroïne de ce livre de seconde zone. Elle vit à New-York et va au lycée Duchesne. Une école pour enfants super riches même si elle a plutôt l'air d'une clocharde. Je ne rentrerais pas dans les détails, mais sachez seulement qu'elle est pitoyable. Les adolescents peuvent peut-être si reconnaitre, mais, ils ont trop accentué les défauts de Théo ou plutôt ses qualités (belle, belle, belle). Cela en devient lassant à force de répétitions.
Bref, le milieu scolaire pourrait faire penser à l'ambiance de la série "Hex" et les mentalités aussi. Sans oublier cette passion de l'auteur pour la mode huppé. Si on enlève toutes les descriptions de vêtements, il ne reste plus grand chose à lire.
J'ai été très déçu par ce livre et je ne le conseilles pas. Même au contraire, je vous le déconseille. Lisez plutôt un bon Twilight. Les vampires de Manhattan ne sont qu'une pale copie dans une sauce snob et sans saveur.
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